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PORTFOLIOS & TÉMOIGNAGES

ASSIA TURQUIER ZAUBERMAN

a participé à : masterclass #2 – 2019

J’ai le sentiment d’avoir testé l’élasticité de la pédagogie d’Oeildeep. Sonia Seraidarian m’a encouragée à rejoindre le groupe malgré mon profil éclectique : je produisais déjà du contenu visuel, photo/vidéo, du contenu sonore et du contenu textuel mais je n’avais pas de pratique photographique établie. Ma gourmandise n’avait jamais été regardée par d’autres de manière globale, et encore moins qui que ce soit qui essaierai de m’aider à en tirer un  quelque chose de cohérent. Audrey Hoareau, Jean-Christian Bourcart et Denis Dailleux ont été suffisamment curieux pour m’aider dans mon exploration, sans me pousser à simplifier de façon factice. Concrètement, nous avons décidé que je recevrai des thèmes quasi-mensuel, comme des questions ouvertes : la punition, la faute, la tache, le lundi. J’ai surtout produit de la vidéo. Ces quelques mois d’exploration m’ont permis de mener à bien des questionnements qui m’auraient autrement pris quelques années. Quel statut donner à l’image intime ? Quelles sont les limites de l’autofiction ? Quel équilibre trouver entre l’intention première et les méandres du processus ? Qu’est-ce que la nécessité de création et quel autre moteur existe quand celle-ci n’est pas là ? Je termine cette formation plus avec une compréhension de mon processus de travail qu’un produit visuel abouti, ce qui aurait encore été prématuré. Oeildeep est une structure au sein de laquelle chacun se nourrit à son rythme.  En assistant au développement des projets des autres membres j’ai aussi beaucoup appris sur la composition du sujet photographique, l’établissement d’une ligne éditoriale et la constitution d’une identité visuelle. Et surtout j’ai pu voir l’adéquation finale du projet de chacun avec son propos de la première heure, et je suis franchement très fière d’eux. 

ASSIA TURQUIER ZAUBERMAN

a participé à : masterclass #2 – 2019

J’ai le sentiment d’avoir testé l’élasticité de la pédagogie d’Oeildeep. Sonia Seraidarian m’a encouragée à rejoindre le groupe malgré mon profil éclectique : je produisais déjà du contenu visuel, photo/vidéo, du contenu sonore et du contenu textuel mais je n’avais pas de pratique photographique établie. Ma gourmandise n’avait jamais été regardée par d’autres de manière globale, et encore moins qui que ce soit qui essaierai de m’aider à en tirer un  quelque chose de cohérent. Audrey Hoareau, Jean-Christian Bourcart et Denis Dailleux ont été suffisamment curieux pour m’aider dans mon exploration, sans me pousser à simplifier de façon factice. Concrètement, nous avons décidé que je recevrai des thèmes quasi-mensuel, comme des questions ouvertes : la punition, la faute, la tache, le lundi. J’ai surtout produit de la vidéo. Ces quelques mois d’exploration m’ont permis de mener à bien des questionnements qui m’auraient autrement pris quelques années. Quel statut donner à l’image intime ? Quelles sont les limites de l’autofiction ? Quel équilibre trouver entre l’intention première et les méandres du processus ? Qu’est-ce que la nécessité de création et quel autre moteur existe quand celle-ci n’est pas là ? Je termine cette formation plus avec une compréhension de mon processus de travail qu’un produit visuel abouti, ce qui aurait encore été prématuré. Oeildeep est une structure au sein de laquelle chacun se nourrit à son rythme.  En assistant au développement des projets des autres membres j’ai aussi beaucoup appris sur la composition du sujet photographique, l’établissement d’une ligne éditoriale et la constitution d’une identité visuelle. Et surtout j’ai pu voir l’adéquation finale du projet de chacun avec son propos de la première heure, et je suis franchement très fière d’eux.